La Belgique au championnat du monde U17 en France - Toulouse - 16 au 25 juillet 2010

La défaite contre l'Argentine a fait mal à plus d'un titre. Dans les chiffres et le plan de marche, dans l'attitude surtout. Notre consultant, Gérard Beurlet pointe le manque d'audace des jeunes Belges qu'il estime 'capable d'oser beaucoup plus et de prendre leur responsabilité'. Condition sine qua non pour aller plus loin.


Gérard Beurlet: 'oser et prendre ses responsabilités'
Après le résultat détonnant de la Chine qui enfile 92 points à l'Australie empochant une victoire surprise 78 à 92, les trois derniers matches de la Belgique devront coincider avec au minimum un ou deux exploits pour espérer disputer les quarts de finale. La Belgique se replace dans un rôle d'outsider qui lui convient peut-être mieux. A tous les coups, les jeunes Belges doivent dynamiter leur jeu et oser beaucoup plus. "Nous n'avons en effet jamais été dans le tempo du match", analyse Gérard Beurlet à l'issue de la défaite face à l'Argentine. "L'Argentine évolue sans 'grandes', avec un jeu axé sur une rapide transition offensive et utilisant beaucoup le jeu en pénétration. Il y avait deux filles à contrôler (Diaz et Gretter). Elles plantent 37 pts à elles deux sur les 55. Offensivement, nos filles ont peur de prendre leur responsiablité. Il y a une faiblesse dans la transition, et on n'arrive pas à jouer en contre, ce qui donnerait des paniers faciles. Cela ferait beaucoup de bien. On voit toutes les équipes jouer vite et mettre de rythme depuis le début du championnat du monde. Et pour moi, côté belge, la distribution a été très décevante, tant offensivement que défensivement. Elles n'ont jamais su contrôler Getter. Et on perd 19 ballons dans un jeu où l'on voit que l'on manque manifestement de cohésion et où les filles se cherchent de trop. Il y a de bons passages, de bons soubressauts, certes, mais trop courts et trop peu nombreux que pour pouvoir revendiquer quelque chose. On manque singulièrement d'agressivité. Pourquoi ? Est-ce que c'est physique ? est-ce que c'est mental ? Pour le moment, nous n'avons pas cette agressivité, cette force nécessaire. Nous sommes trop gentils. Beaucoup trop gentils. Encore une fois, est-ce sur le plan physique ou dans la tête ? Il va falloir réagir."
Rédigé par Christian Detroz le Samedi 17 Juillet 2010 à 18:18

La Belgique est redescendue brutalement sur terre en mordant la poussière face à l'Argentine 55 à 53 pour sa deuxième rencontre du Mondial samedi. Un revers qui complique singulièrement la tâche des jeunes Belges dans leurs objectifs toulousains. L'heure est à la remise en question et 'noblesse oblige', insiste Daniel Goethals, un retour à plus d'humilité.


Daniel Goethals veut endosse toute la responsabilité de cette défaite en tentant d'en dégager, en amont, les causes
Daniel Goethals veut endosse toute la responsabilité de cette défaite en tentant d'en dégager, en amont, les causes
Obligées de monter leur niveau de jeu, les Belges ont peiné à contre-carrer la vitesse des contre-attaques argentines et à limiter le jeu en percussion sud-américain. Melissa Gretter (17) et Rocio Evangelina Diaz (20) auront mis 37 des 55 points argentins, soit plus de la moitié de la force de frappe adverse. Avec 55 points dans la vue, la tâche offensive des Belges ne semblaient pourtant pas insurmontable, mais le doute a envahit de nouveau la Belgique au moment où les attaques se faisaient moins fluides, les passes moins précises, et les décisions prises offensivement ne furent pas forcément les bonnes, et encore moins au bon moment.

Hormis un 0-2 d'entrée, la Belgique a du courir continuellement derrière le score. Epuisant pour des joueuses qui ne sont pas forcément de première fraîcheur. Ce fut visible en fin de rencontre. Influent certainement sur la lucidité offensive. Avec 17pts et 6 rebonds, pour 5 blocs-shots, Emma Meesseman sera resté la plus menaçante pour la défense argentine. Hanne Mestdagh avec 14 rebonds équilibrait la donne avec l'Argentine dans ce domaine (35 à 39), alors qu'Hatti Bende Belobi s'était démenée dans la raquette, mais une fois encore la sélection belge paraissait bridée n'osant jamais "se lâcher" tant sur le terrain que sur le banc belge trop calme dans ce genre de compétition majeure. A 53 partout pourtant, la pièce pouvait encore tomber dans les rangs de Daniel Goethals qui avouait malgré tout qu'une victoire belge se serait assimilée à un petit hold-up tant il estimait le succès argentin mérité.
Rédigé par Christian Detroz le Samedi 17 Juillet 2010 à 17:23
Rédigé par Christian Detroz le Samedi 17 Juillet 2010 à 11:35

Toutes les rencontres du Mondial sont ponctuées d'une conférence de presse avec le coach et une joueuse de chaque équipe. Daniel Goethals et Emma Meesseman (en français s'il-vous-plait) se prêtaient à l'exercice après Belgique / Mali. A voir absolument !


Avec ses 16 pts et 9 rebonds, Emma Meesseman aura comme à son habitude et sans avoir l'air d'y toucher porté l'équipe belge vers un premier succès aisé face au Mali. "C'est la première fois que nous sommes à un championnat du monde. Et pour la Belgique, le but est d'avoir une meilleure ambiance dans le team comme ça nous jouons beaucoup mieux, ça va venir !"
Rédigé par Christian Detroz le Samedi 17 Juillet 2010 à 10:25

Avec ses 10 unités en première période, Sien Devliegher aura été peut-être la première à dissiper la nervosité qui semblait marquer les premiers instants de ce Belgique / Mali qui ne restera certes pas dans les mémoires, mais qui aura eu le mérite de lancer les Belges - surtout en seconde période - dans ce championnat du monde, bien conscient que l'opposition était modeste et que l'Argentine sera déjà d'un autre calibre samedi.


Une bonne entrée en matière pour Sien Devliegher
Une bonne entrée en matière pour Sien Devliegher
"C'est vrai que nous étions nerveuses, mais nous étions surtout impatientes de commencer la compétition," concédait Sien Devliegher. "On a oublié de mettre du rythme. C'est sûr que le coach n'était pas très content à la mi-temps. Il fallait mettre plus d'agressivité, de vitesse, courir et contenir nos émotions. Ne pas montrer en tous les cas que nous étions peut-être impressionnées d'entamer ce Mondial. Mais bon, en deuxième mi-temps cela a été beaucoup mieux." La meneuse de Blue Cats Ieper savoure l'instant dans la foulée d'une deuxième place avec les U16 l'an dernier. Après avoir fait ses classes à La Panne, Sien Devliegher a pris le chemin de Ieper où elle évolue depuis 5 saisons, avec la satisfaction "d'avoir pu sortir une belle saison malgré le départ de Julie Vanloo par exemple. Je pense que beaucoup d'équipes nous ont sous-estimé et au final nous avons fait un beau parcours. Maintenant, c'est Hanne (Mestdagh) qui part, puis Isabelle (Degels), nous verrons comment cela se passe la saison prochaine."

Impressionnée, ou plûtot impatiente, d'entrer dans ce Mondial, Sien Devliegher prend petit à petit de l'assurance et sa place au sein de la sélection, un paradoxe pour une fille qui n'a pas réussi le test d'entrée au topsport. Etudiante en dernière année, la saison prochaine, elle pense à entamer ensuite des études de médecine et combiner la pratique du basket au plus haut niveau. Une tête bien sur les épaules donc qui lui fait dire "qu'il ne faut surtout pas croire que cela va être facile contre l'Argentine. Nous savions que le Mali était à notre portée, c'était à nous de ne pas avoir trop de confiance et c'est à nous encore de faire attention demain (samedi). Pour le reste, nous avons une belle équipe pour essayer d'aller le plus loin possible."
Rédigé par Christian Detroz le Samedi 17 Juillet 2010 à 00:47

La tête d'affiche de la première journée a tenu toutes ses promesses. Malgré beaucoup d'imprécisions, les deux équipes se sont livrées et ont offert un match intense avec des défenses prenant le pas sur les attaques. Chaque nation a eu sa chance, mais ce sont les Australiennes qui remportent la mise d'un point.


L'Australie au bout de la lutte face à l'Espagne
Championnes d'Europe cadettes contre Championnes d'Oceanie cadettes. Affiche alléchante. Dès le début les équipes jouent au maximum de leur intensité mais c'est l'Australie qui se forge un premier avantage grâce à ses robustes pivots Gretel Alice Tippet et Tayla Ellen Roberts (8-16). Cependant, petit à petit, les Espagnoles vont revenir dans la partie grâce à la pression exercée par leur défense et une belle adresse à 3 pts (5/11 en première mi-temps). Les débats s'équilibrent dans les 5 dernières minutes, l'étouffante défense espagnole annulant les attaques des "Aussies" et les Australiennes verrouillant leur raquette grâce à leur avantage physique.

Après le repos, l'Australie reprennait bien (30-36) mais à nouveau les Ibères réagissaient plus tard dans le quart-temps avec Andrea Vilaro Aragones et Marles Balart Merich (43-44). La suite? De nombreux changement d'avantages et de quoi s'en vouloir pour les Espagnoles qui gachèrent de multiples occasions de rester devant et un shoot pour la gagne à 5 secondes de la fin. Score final 57-58 pour l'Australie.

"C'est toujours difficile de perdre comme ça pour le premier match mais l'équipe est aussi là pour apprendre. Cela a a été difficile avec les Australiennes physiquement. Nous avions mal débuté mais petit à petit nous sommes revenus dans la partie. Je tiens à féliciter l'Australie pour sa victoire" a confié le coach espagnol Victor Lapena (photo).
Rédigé par Christophe Crespin le Samedi 17 Juillet 2010 à 00:31

Le choc entre l'Espagne et l'Australie aura tenu toutes ses promesses avec la victoire sur le fil 57 à 58 des Aussies. Il aura aussi démontré la valeur de ces deux formations que la Belgique veut tenter d'approcher. Pour Gérard Beurlet, notre consultant durant ce Mondial, les Belges sont obligées d'élever leur niveau de jeu.


Gérard Beurlet: 'augmenter le niveau de jeu'
La victoire de la Belgique face au Mali 80 à 27 fut très (trop ?) aisée, "elle constitue en tous les cas une entrée en matière idéale dans ce championnat du monde", reprend Gérard Beurlet. "Pour se mettre dans le tournoi et monter progressivement en régime, c'est parfait. Tout comme, l'Argentine, a priori, la seconde équipe la moins forte du groupe, l'enchaînement des matches est idéal."

Les Argentines ont souffert en effet face à la Chine (72-54) et constituent le deuxième hors d'oeuvre de la bande à Daniel Goethals samedi sur le coup de 15h00.

"A mon sens, tant la Chine que l'Argentine sont deux équipes à la portée de la Belgique. Les Chinoises ont de la taille avec trois filles à plus d'un mètre 93. Par contre, défensivement, elles sont fort statiques. On a vu contre l'Argentine qu'elles pouvaient malgré tout trouver des solutions à trois points contre la zone. Du côté argentin, c'est plus un jeu de pénétration. Peut-être avec moins de précision à distance, mais avec un jeu plus en percussion. Elles ont raté des choses faciles contre les Chinoises, il faudra se méfier malgré tout."

Pour en revenir à la victoire belge, Gérard Beurlet concède que ce fut "difficile en première mi-temps avant une belle reprise dans le 3e quart temps. Avec une bonne défense et un match vraiment lancé à 31-7, ce fut plus facile en seconde période. Mais il est certain que les filles doivent monter leur niveau de jeu. Il y a encore beaucoup de travail. Ce fut par moment trop collectif, avec un manque d'agressivité vers l'anneau. Pour preuve, le peu de lancers récoltés. Il faudra donc élever son niveau de jeu, déjà contre l'Argentine et surtout quand on voit le niveau atteint par le match entre l'Espagne et l'Australie. C'est du très haut niveau. Aussi bien offensivement que défensivement. Au niveau physique. Au niveau de l'adresse. Tout y est. Avec un jeu collectif beaucoup plus développé que chez nous. Ce sont deux pays avec un jeu très compet aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. Le tout avec une très bonne défense. Il est impératif pour la Belgique de monter en intensité pour préparer les matches contre ces deux équipes là."
Rédigé par Christian Detroz le Vendredi 16 Juillet 2010 à 20:57

La Belgique a réussi une joyeuse entrée dans le Mondial U17 en prenant la mesure 80 à 27 du Mali vendredi. Les filles de Daniel Goethals ont déroulé en seconde période après une entame de match crispée. Place samedi à l'Argentine, battue par la Chine 72 à 54.


Une Joyeuse Entrée face au Mali
Il était dit que les Belges commenceraient la partie avec une nervosité qu'elles ont mis près d'une mi-temps à se débarrasser. L'histoire de cette première rencontre face au Mali, sans doute l'une des équipes les moins fortes du plateau, ne souffrait d'aucun suspens tant la différence de valeur entre les deux nations sur le plan du basket était nette. Il était néanmoins important de bien entamer les débats pour la suite de la compétition. Et ce ne fut pas vraiment le cas en première armure quand on a vu des Belges crispées, nerveuses et embrouillées. Il a fallu 7 à 8 minutes avant que la Belgique, vice-championne d'Europe U16, ne rentre dans la partie. Sien Devliegher fut la première mi-temps à montrer de la solidité avec 10 pts à son actif. Elle emmena dans son sillage le restant du groupe. A la pause, les choses étaient déjà bien claires au marquoir: 32 à 7. Elles le furent aussi définitivement dans la tête en seconde période. Et c'était bien là le plus important avant de rencontrer l'Argentine samedi. Emma Meesseman (16 pts, 9 rbds), Julie Vanloo (9pts), Heleen Adams (8pts), Hanne Mestdagh (9 pts), l'effectif au complet s'est mis au diapason. "Parce que la compétition est encore longue et l'Argentine, ce sera un autre morceau", comme dit Daniel Goethals.Un niveau supérieur par rapport au Mali, mais certainement pas encore un ténor. De quoi rentrer dans le tournoi dans une logique de progression idéale.

L'interview de Daniel Goethals après la rencontre
Rédigé par Christian Detroz le Vendredi 16 Juillet 2010 à 20:44

Pour son match d'ouverture, l'Argentine a souffert (défaite 72-54). Ennuyée par la densité physique et la défense des Chinoises, les Argentines préfèrent oublier la défaite et se concentrer sur leur match contre les Belges vendredi.


L'Argentine pense déja à la Belgique
Chine 72 - Argentine 54. Débuts difficiles pour l'Albiceleste ! Malgré leur envie, les Sud-Américaines ont subi la partie et la différence physique de plein fouet. "On n'a pas controlé le rebond et derrière, notre pivot prend vite 3 fautes. Ce sont des éléments qui ont conditionnés le match", confiait le coach argentin Eduardo Pinto.

Incapable de joindre leurs "grandes", de développer un jeu collectif, en panne d'adresse à 3 points , les Sud-Américaines se sont vues refuser l'accès au panier tandis que les chinoises développaient leur basket, s'appuyaient sur leur qualité de jeu (adresse, puissance dans la raquette, organisation) et leur physique pour creuser l'écart soit en transition, soit sur jeu placé. Malgré les changement de défense (zone 2-3, homme) et la réaction de quelques joueuses comme l'ailière Rocio Evangelina Diaz (14 pts), l'Argentine n'a pu que constater les dégâts et courir derrière le score.


Rédigé par Christophe Crespin le Vendredi 16 Juillet 2010 à 14:29

A 17h30, première rencontre de la Belgique au championnat du monde U17 face au Mali en direct sur Basketfeminin.com.


Rédigé par Christian Detroz le Vendredi 16 Juillet 2010 à 09:45

Les Belges entament ce vendredi à 17h30 leur championnat du monde face au Mali. Les impressions en video de Daniel Goethals, le coach belge, et de Julie Vanloo, capitaine des vice-championnes d'Europe U16 avant cette première joute face aux Africaines.


Rédigé par Christian Detroz le Vendredi 16 Juillet 2010 à 00:39

La Belgique s'est entraînée pour la première fois dans le Palais des Sports de Toulouse jeudi de 13h30 à 15h00 à la veille de leur première rencontre face au Mali. La nervosité et surtout l'impatience d'en découdre était palpable au sein d'un groupe qui n'oublie pas celles restées au pays, à commencer par Céline Henry.


Les Belges se sont entraînées
Les U17 se sont entraînées jeudi en début d'après-midi au Palais des Sports de Toulouse à la veille de leur entrée en lice en compétition vendredi à 17h30 face au Mali. Une équipe que les Belges avaient largement dominée en préparation, mais que Daniel Goethals ne veut certainement pas sous-estimer. "Je sens le groupe nerveux", ressentait le coach carolo à l'issue du premier entraînement de ses troupes dont il n'était pas entièrement satisfait. "On voit les infrastructures, on voit l'organisation, tout ce qu'il y a autour, c'est encore un niveau au-dessus d'un championnat d'Europe. L'entraînement n'a pas été de super-qualité, mais avec mon expérience de joueur, je sais qu'on a envie de se montrer, on a envie de commencer. Cela met beaucoup de pression, ce sont des jeunes."

La Belgique a débarqué au pays du cassoulet avec l'étiquette de vice-champion d'Europe sur le dos, avec un noyau sensiblement le même qu'à Naples l'été dernier, avec deux modifications malgré tout. Céline Henry, victime d'un grave accident de la route le mois dernier, et Lynn Delvaux (poignet) sont absentes. "Céline est un catalyseur défensif, offensivement c'est quelqu'un d'altruiste qui joue pour les autres", rappelle encore Daniel Goethals. "Lynn Delvaux, on sait qu'elle est capable d'apporter des points. On a le retour de Hanne Mestdagh, et l'arrivée d'Hatti qui devrait nous apporter du physique et un peu de peps. Deux en moins, deux en plus. Bon, l'objectif . Mais on n'est plus l'équipe challenger. On est peut-être parmi les favoris, donc on est ici avec une nouvelle étiquette. Il faudra gérer cela, mais ce que je sais, c'est que ce sont des compétitrices. Si l'on arrive à jouer les uns pour les autres et respecter les consignes dans les moments chauds." Daniel Goethals ne fait pas mystère des objectifs de la sélection belge: une médaille !

Le rêve, c'est une médaille (Julie Van Loo)
Rédigé par Christian Detroz le Jeudi 15 Juillet 2010 à 15:37

La première Coupe du monde des moins de 17 ans a été présentée jeudi lors de la conférence de presse générale présentant l'évènement à Toulouse. Elle suscite bien des convoitises.


Le Trophée tant convoité
Rédigé par Christian Detroz le Jeudi 15 Juillet 2010 à 12:18

En présence des délégations et des responsables du Comité d'organisation, le championnat du monde U17 féminin a été présenté jeudi matin au Palais des Sports de Toulouse, en attendant la cérémonie d'ouverture officielle du groupe B en début de soirée à la Mairie de la Ville Rose.


Une organisation made in France
Le Comité local d'organisation composé de la Ligue Midi-Pyrénées et du stade Rodez Aveyon Basket a présenté jeudi matin cette première édition du Mondial U17 féminin. En présence de Florian Wanninger, directeur de la Communication de la FIBA - qui a annoncé l'arrivée pour ce week-end du président de FIBA Monde, l'Australien Bob Elphinston-, de Cathy Giscou, président de la Ligue Midi-Pyrénées de basket et de Jean-Claude Traval, vice-président du conseil général de l'Aveyron, en charge des sports et des loisirs, et des représentants des délégations des pays du groupe B, basé à Toulouse, dont la Belgique avec Eddy Hendrickx.

Rédigé par Christian Detroz le Jeudi 15 Juillet 2010 à 12:03

Dernière des délégations à arriver sur Toulouse mercredi en début de soirée, l'équipe belge a atterri à Toulouse-Blagnac à 18h00 pour prendre ses quartiers à l'Hotel Mercure à côté du Palais des Sports, théatre des rencontres du groupe B et de la phase finale de ce premier championnat du monde pour les moins de 17 ans.


La délégation belge est arrivée
Les 12 joueuses, Daniel Goethals, le coach, Daphne Van Dessel, l'assistant-coach, Eddy Hendrickx, le team manager et Laetitia Duchêne ont débarqué à l'aéroport de Toulouse-Blagnac sur le coup de 18h00 mercredi avec près d'une heure et demie de retard sur l'horaire prévu en raison des orages balayant le tarmac de Bruxelles-National au départ. Le temps de récupérer tous les bagages, direction le Palais des Sports et l'hotel des équipes du groupe B. Il était 20 heures.

Jeudi une conférence de presse ouvrira le Mondial à 10h30. Les jeunes Belges de Daniel Goethals prendront ensuite pour la première fois la direction de la salle pour leur premier entraîneur du tournoi à 13h30. Une séance photo est prévue à 17h00 avant le rendez-vous dans les rues de Toulouse où une parage des pays du groupe B est prévue jusqu'à la place du Capitole. Les équipes seront présentées sur le podium installé pour l'évènement et une petite cérémonie d'ouverture et réception à la Mairie de la Ville Rose ouvrira officiellement le championnat du monde. Les choses sérieuses pourront enfin commencer.
Rédigé par Christian Detroz le Mercredi 14 Juillet 2010 à 21:14
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