Le basket féminin francphone est bel et bien malade
Président,
Je viens de prendre connaissance avec beaucoup d’attention de votre newsletter ouverte du 03 avril suite au poisson d’avril "gros comme une maison" de notre ami, enfin de mon ami Christian Detroz.
D’abord, ça fait du bien d’avoir un vrai gros poisson comme dans le bon vieux temps.
Celui de Basketfeminin.com, c’est du pur bonheur ! Bravo, fallait avoir beaucoup d’imagination pour sortir un truc pareil.
Monsieur le Président, je souhaiterais revenir sur l’un ou l’autre point de votre newsletter ouverte :
"Face aux attaques faciles, incorrectes ou fallacieuses, il y a 2 options concevables, la première est de faire fi de ces critiques faciles, rarement argumentées et destinées à faire mal, la seconde est de réagir posément, de répondre point par point aux avis émis dans vos différents articles".
"A titre principal, il est fort décevant de constater que vos contributions sur votre site sont étonnement partielles, rarement contradictoires, souvent disproportionnées."
Et là, stop, vous allez trop loin, je ne suis pas d’accord avec vous (une fois de plus me direz-vous). Mieux même, je dirai que c’est vous qui n’êtes pas objectif. D’abord, parce que vous semblez avoir oublié la qualité du "travail" réalisé par Basketfeminin.com lors du championnat du Monde U21, travail unanimement reconnu (même par les webmasters français !!! ) et qui a largement contribué à la visibilité de basket féminin belge.
Ensuite, parce qu’il y a eu aussi la couverture du "season opening". Je crois que vous n’avez pas eu à vous plaindre de ce qui a été réalisé et que l’Awbb a bien été mise en avant … par Basketfeminin.com. Là, évidemment, il a fait preuve de beaucoup d’objectivité bien sûr. Mais quand Basketfeminin.com aborde des sujets qui fâchent, quand Basketfeminin.com met le doigt sur les disfonctionnements alors, ben oui, il n’est plus du tout objectif !
Heureusement que ce site existe sans quoi, nous serions sûrement amenés à avaler des couleuvres bien plus grosses que le poisson d’avril de Basketfeminin.com.
De deux choses l’une, Monsieur le Président, soit vous n’êtes pas bien informé, soit vous ne voulez pas regarder la réalité en face car le basket féminin et plus particulièrement le basket féminin francophone est bel et bien malade.
D’abord, je vous dirai qu’en tant que coach de basket féminin depuis 1988 sans interruption, j’en ai vu pas mal de choses:
Du temps où Charles-Quint trônait en tête de la division 1 (tiens, il jouait à Ganshoren si ma mémoire est exacte), du temps où les derbies liégeois étaient "chaud- bouillant" et animés jusqu’à aujourd’hui où il n’y a plus de derby à Liège.
Du temps où les divisions étaient nationales jusqu’à aujourd’hui, où seule la division 1 est nationale …
Mais aujourd’hui, la rumeur dit que, depuis la scission de la fédération en deux ailes, le niveau de jeu du basket féminin francophone a baissé, etc … Je ne vois pas sur quels arguments on peut se baser pour dire cela. Le basket a évolué, heureusement, mais peut-être pas avec la même intensité partout.
Par contre, je constate deux choses : la première, c’est que la vision sportive, l’implication sur le terrain et la vitesse d’anticipation me semblent supérieures du côté flamand (j’ai bien dit me semble) et d’autre part, je constate, que le niveau des structures a vachement baissé.
En fait, actuellement, c’est le foutoir le plus complet, ne tournons pas autour des mots.
Avant, le champion et parfois le deuxième montaient.
Avant, il n’y avait pas de "minerval" à payer, minerval qui, non seulement "plombe" les clubs, mais en fait reculer plus d’un,
Avant, il n’y avait pas tout ces règlements qui ne prennent leur forme définitive que quelques semaines avant la fin du championnat à un point tel que même vous, vous ne vous y retrouvez pas toujours (remember Ganshoren/Libramont…).
Avant, il n’y avait pas tous ces recours et plaintes, mais oui … c’était avant, bien sûr.
Je viens de prendre connaissance avec beaucoup d’attention de votre newsletter ouverte du 03 avril suite au poisson d’avril "gros comme une maison" de notre ami, enfin de mon ami Christian Detroz.
D’abord, ça fait du bien d’avoir un vrai gros poisson comme dans le bon vieux temps.
Celui de Basketfeminin.com, c’est du pur bonheur ! Bravo, fallait avoir beaucoup d’imagination pour sortir un truc pareil.
Monsieur le Président, je souhaiterais revenir sur l’un ou l’autre point de votre newsletter ouverte :
"Face aux attaques faciles, incorrectes ou fallacieuses, il y a 2 options concevables, la première est de faire fi de ces critiques faciles, rarement argumentées et destinées à faire mal, la seconde est de réagir posément, de répondre point par point aux avis émis dans vos différents articles".
"A titre principal, il est fort décevant de constater que vos contributions sur votre site sont étonnement partielles, rarement contradictoires, souvent disproportionnées."
Et là, stop, vous allez trop loin, je ne suis pas d’accord avec vous (une fois de plus me direz-vous). Mieux même, je dirai que c’est vous qui n’êtes pas objectif. D’abord, parce que vous semblez avoir oublié la qualité du "travail" réalisé par Basketfeminin.com lors du championnat du Monde U21, travail unanimement reconnu (même par les webmasters français !!! ) et qui a largement contribué à la visibilité de basket féminin belge.
Ensuite, parce qu’il y a eu aussi la couverture du "season opening". Je crois que vous n’avez pas eu à vous plaindre de ce qui a été réalisé et que l’Awbb a bien été mise en avant … par Basketfeminin.com. Là, évidemment, il a fait preuve de beaucoup d’objectivité bien sûr. Mais quand Basketfeminin.com aborde des sujets qui fâchent, quand Basketfeminin.com met le doigt sur les disfonctionnements alors, ben oui, il n’est plus du tout objectif !
Heureusement que ce site existe sans quoi, nous serions sûrement amenés à avaler des couleuvres bien plus grosses que le poisson d’avril de Basketfeminin.com.
De deux choses l’une, Monsieur le Président, soit vous n’êtes pas bien informé, soit vous ne voulez pas regarder la réalité en face car le basket féminin et plus particulièrement le basket féminin francophone est bel et bien malade.
D’abord, je vous dirai qu’en tant que coach de basket féminin depuis 1988 sans interruption, j’en ai vu pas mal de choses:
Du temps où Charles-Quint trônait en tête de la division 1 (tiens, il jouait à Ganshoren si ma mémoire est exacte), du temps où les derbies liégeois étaient "chaud- bouillant" et animés jusqu’à aujourd’hui où il n’y a plus de derby à Liège.
Du temps où les divisions étaient nationales jusqu’à aujourd’hui, où seule la division 1 est nationale …
Mais aujourd’hui, la rumeur dit que, depuis la scission de la fédération en deux ailes, le niveau de jeu du basket féminin francophone a baissé, etc … Je ne vois pas sur quels arguments on peut se baser pour dire cela. Le basket a évolué, heureusement, mais peut-être pas avec la même intensité partout.
Par contre, je constate deux choses : la première, c’est que la vision sportive, l’implication sur le terrain et la vitesse d’anticipation me semblent supérieures du côté flamand (j’ai bien dit me semble) et d’autre part, je constate, que le niveau des structures a vachement baissé.
En fait, actuellement, c’est le foutoir le plus complet, ne tournons pas autour des mots.
Avant, le champion et parfois le deuxième montaient.
Avant, il n’y avait pas de "minerval" à payer, minerval qui, non seulement "plombe" les clubs, mais en fait reculer plus d’un,
Avant, il n’y avait pas tout ces règlements qui ne prennent leur forme définitive que quelques semaines avant la fin du championnat à un point tel que même vous, vous ne vous y retrouvez pas toujours (remember Ganshoren/Libramont…).
Avant, il n’y avait pas tous ces recours et plaintes, mais oui … c’était avant, bien sûr.
La R1 dames, à devenir carrément fou !
Pour ce qui concerne le championnat de D1 dames, même si j’y marque un intérêt certain, tout comme le comportement de notre équipe nationale dames … (on n’a quand même raté le coche en ne répondant pas à l’appel du pied de Laurent Buffard), et même si, en cette fin de saison, cela ressemble à un fameux bricolage et que cela fait un peu désordre (mais bon, c’est pas grave comme vous dites, vous ferez mieux la prochaine fois), je dois bien reconnaître qu’actuellement ce n’est pas ce qui me préoccupe le plus.
En effet, si on regarde dans notre assiette, c’est-à-dire la R1 dames et en-dessous, là, je deviens carrément fou.
Depuis la création de la R1, quelles sont les équipes championnes qui ont accédé à la D1 et qui s’y sont maintenues: une , Sprimont depuis 3 saisons. (Monceau est un cas à part)
Quelle formule de championnat a tenu la route ?
Combien de fois a-t-on changé de règlement ?
Comment peut-on encore si retrouver ?
Ouf, Monceau ne descendra pas quoi qu’il arrive !
Trois équipes la même saison, cela fait beaucoup !
Attendez, Monsieur le Président, là, vous devez commencer à vous poser des questions, non ?
Et ne me dites pas que c’est l’affaire des clubs !
Je reprends un autre de vos passages
"A titre secondaire, nous pourrions nous interroger sur les desseins qui animent votre propension à la critique. Si c'était dans un but louable d'assurer la promotion du basket féminin, nous pourrions peut-être adhérer à votre discours sans toutefois accepter la manière. Mais permettez-nous d'en douter."
Quand on lit convenablement le poisson d’avril, il n’y a pas que des choses pour rire. Il y a des idées et des vérités qui méritent au moins la réflexion si pas d’ouvrir carrément et largement le débat … si, comme vous le laissez sous entendre votre but est bien la promotion de basket féminin.
Je prends notamment les deux points suivants :
Les play down mixte D1 - R1/L1. Une idée de génie !
Dites Monsieur le Président, si cette "blague" n’est pas une proposition constructive et positive, je n’y comprends plus rien mais vous pouvez reconnaître que, souvent, seules les idées émises par l’Awbb ont droit au label "constructif et positif".
Je ne sais pas où Basketfeminin.com a été trouvé ça ou si quelqu’un lui l'a soufflée dans l’oreille mais cette proposition, c’est la réalité sportive … A vous de la faire passer … à défaut d’une division 2 nat. qui aurait été salutaire et vitale pour nous les francophones. Mais bon, paraît que nos amis flamands n’en veulent pas.
Le dernier point de votre lettre ouverte …
"Bien que la formule consacrée devrait nous pousser à rester à votre disposition pour tout complément d'information, elle est toutefois inutile puisque vous avez la singulière habitude de prendre position de manière orientée et univoque."
Heu … Quand on lit le PV de l’assemblée générale et notamment la façon dont le point "formation des équipes du centre" a été emballé, je ne comprends pas trop ce que vous entendez par "manière orientée et univoque". A ce sujet, je suis d’ailleurs très étonné que des gars d’expérience et de fins connaisseurs du basket féminin comme Gérard Beurlet et Jean-Marie Fivet aient marqué leur accord sans réserve pour aligner des gamines en R1. Si ma connaissance du terrain est correcte, cette saison, je ne compte que 3 filles du centre en R1 dont une quittera le centre puisque en fin de parcours scolaire.
Alors, si c’est pour jouer contre des 93 et 94, je ne pense pas que des équipes comme Ganshoren feront le déplacement. Il faut quand même garder un esprit critique et agir de façon responsable.
Mentalement, cela risque d’être difficile pour les petites … ainsi que pour les coaches mais bon, ce n’est pas grave, on fera mieux la prochaine fois sûrement
Par contre, si des enfants de 14 et 15 ans sont capables de jouer en R1, alors c’est que notre R1 est encore plus malade que ce que je ne croyais …ou que la relève est assurée pour les équipes nationales !!!
Mais, de toute façon me direz-vous, ce n’est pas mon problème. C’est vrai, vous avez raison.
J’ai quand même une question dont je ne connais pas la réponse : les 94, peuvent-elles déjà jouer en équipe première ?
En effet, si on regarde dans notre assiette, c’est-à-dire la R1 dames et en-dessous, là, je deviens carrément fou.
Depuis la création de la R1, quelles sont les équipes championnes qui ont accédé à la D1 et qui s’y sont maintenues: une , Sprimont depuis 3 saisons. (Monceau est un cas à part)
Quelle formule de championnat a tenu la route ?
Combien de fois a-t-on changé de règlement ?
Comment peut-on encore si retrouver ?
- - Il y a deux ans, Belleflamme est champion, fait tous les efforts pour construire une équipe, et, finalement, doit bien se rendre à l’évidence et la mort dans l’âme, renoncer à la D1. Moralité, Belleflamme est rétrogradé en P3 liégeoise. (Je sais que vous vous êtes battu pour trouver une solution alternative).
- - L’année passée, le champion, Andenne n’est pas obligé de monter mais, malgré tout, arrête ses activités.
- - Cette année, le Fémina – virtuellement champion - jette l’éponge avant même la fin de la
saison et, humiliation suprême, les quatre premiers se « désinscrivent » des play off, ce qui signifie pas d’organisation de play off et pas de montant en D1.
Ouf, Monceau ne descendra pas quoi qu’il arrive !
- - De plus, non content d’assister à l’arrêt de Tournai après quelques journées, on a appris depuis peu que Ciney stoppait ses activités en R1.
Trois équipes la même saison, cela fait beaucoup !
Attendez, Monsieur le Président, là, vous devez commencer à vous poser des questions, non ?
Et ne me dites pas que c’est l’affaire des clubs !
Je reprends un autre de vos passages
"A titre secondaire, nous pourrions nous interroger sur les desseins qui animent votre propension à la critique. Si c'était dans un but louable d'assurer la promotion du basket féminin, nous pourrions peut-être adhérer à votre discours sans toutefois accepter la manière. Mais permettez-nous d'en douter."
Quand on lit convenablement le poisson d’avril, il n’y a pas que des choses pour rire. Il y a des idées et des vérités qui méritent au moins la réflexion si pas d’ouvrir carrément et largement le débat … si, comme vous le laissez sous entendre votre but est bien la promotion de basket féminin.
Je prends notamment les deux points suivants :
- 1- (…) ‘Plan Marshall' pour le basket féminin belge … déjà si on commençait à stopper l’hémorragie dans le basket féminin francophone, ce serait pas mal !
Nous, nous avons un « plan Marshall ». Il est prêt et il a été pensé par des gens qui ont l’expérience dans et du basket féminin.
L’Italie l’a fait il y a deux/ trois ans avec un succès certain aujourd’hui .
- 2- Pour la descente ou le maintien, les deux derniers de D1 jouent avec les deux premiers de la R1 de l'AWBB et les deux premiers de la L1 de la VBL dans un mini-championnat en barrage pour deux places en D1.
Les play down mixte D1 - R1/L1. Une idée de génie !
Dites Monsieur le Président, si cette "blague" n’est pas une proposition constructive et positive, je n’y comprends plus rien mais vous pouvez reconnaître que, souvent, seules les idées émises par l’Awbb ont droit au label "constructif et positif".
Je ne sais pas où Basketfeminin.com a été trouvé ça ou si quelqu’un lui l'a soufflée dans l’oreille mais cette proposition, c’est la réalité sportive … A vous de la faire passer … à défaut d’une division 2 nat. qui aurait été salutaire et vitale pour nous les francophones. Mais bon, paraît que nos amis flamands n’en veulent pas.
Le dernier point de votre lettre ouverte …
"Bien que la formule consacrée devrait nous pousser à rester à votre disposition pour tout complément d'information, elle est toutefois inutile puisque vous avez la singulière habitude de prendre position de manière orientée et univoque."
Heu … Quand on lit le PV de l’assemblée générale et notamment la façon dont le point "formation des équipes du centre" a été emballé, je ne comprends pas trop ce que vous entendez par "manière orientée et univoque". A ce sujet, je suis d’ailleurs très étonné que des gars d’expérience et de fins connaisseurs du basket féminin comme Gérard Beurlet et Jean-Marie Fivet aient marqué leur accord sans réserve pour aligner des gamines en R1. Si ma connaissance du terrain est correcte, cette saison, je ne compte que 3 filles du centre en R1 dont une quittera le centre puisque en fin de parcours scolaire.
Alors, si c’est pour jouer contre des 93 et 94, je ne pense pas que des équipes comme Ganshoren feront le déplacement. Il faut quand même garder un esprit critique et agir de façon responsable.
Mentalement, cela risque d’être difficile pour les petites … ainsi que pour les coaches mais bon, ce n’est pas grave, on fera mieux la prochaine fois sûrement
Par contre, si des enfants de 14 et 15 ans sont capables de jouer en R1, alors c’est que notre R1 est encore plus malade que ce que je ne croyais …ou que la relève est assurée pour les équipes nationales !!!
Mais, de toute façon me direz-vous, ce n’est pas mon problème. C’est vrai, vous avez raison.
J’ai quand même une question dont je ne connais pas la réponse : les 94, peuvent-elles déjà jouer en équipe première ?
Une opposition gronde
Dernier point avant que vous ne soyez complètement irrité :
Avec le recul, je ne crois pas que le "season opening" soit quelque chose de prioritaire pour les francophones. Je ne dis pas que ce n’est pas une bonne idée mais quand on voit l’état de délabrement de notre basket féminin francophone, est-ce vraiment une priorité ? C’est mon avis et ça n’engage que moi.
Et puisque vous parlez des "(…) réponses à vos abonnés qui sous le couvert de l'anonymat ont le courage de tenter de détruire au lieu de construire", je vous rappelle que le fait de ne pas être d’accord avec l’Awbb ou de modérer voire de critiquer la portée des envolées "awbbiennes" n’est pas nécessairement synonyme de destruction.
Alors, pour une fois, prenez en considération un autre son de cloche (sans mauvais jeu de mot) et, pour reprendre une phrase qui vous est chère "La pérennité de notre sport est, aujourd’hui, à ce prix."
Ce n’est pas la première fois qu’une démarche positive est entreprise envers l’AWBB, soit de façon individuelle, soit par Basketfemin.com, soit par le biais de FunKids (rappellez vous les newsletters n° 46 et 73 ou encore le 27 juin 2005 voire même les jeux de la francophonie).
Une porte est ouverte, une main est tendue et le dialogue entre toutes les forces vives de chez nous - Basketfeminin.com en est une, que cela vous plaise ou non – est devenu une nécessité indispensable car, je le répète, Il y a bel et bien urgence pour notre basket féminin.
A vous de savoir ce qui a lieu de faire … mais sachez qu’il y a une opposition qui gronde de plus en plus… à vous de la rendre « démocratique » ou de la laisser « dissidente ».
C’est le pouvoir du chef et ce pouvoir, croyez-le bien, nous ne le contestons pas, loin de là !
Pour éviter tout amalgame auquel j’ai déjà eu droit …
Jean-Luc Cornia
Coach de basket féminin, je précise bien coach de basket féminin (et rien d’autres) depuis pas mal de temps déjà.
PS: Pour faire vraiment très court : "debout les gars réveillez-vous, il va falloir en
mettre un coup …, debout les gars, réveillez-vous, on va …. " (chanson bien connue).
Avec le recul, je ne crois pas que le "season opening" soit quelque chose de prioritaire pour les francophones. Je ne dis pas que ce n’est pas une bonne idée mais quand on voit l’état de délabrement de notre basket féminin francophone, est-ce vraiment une priorité ? C’est mon avis et ça n’engage que moi.
Et puisque vous parlez des "(…) réponses à vos abonnés qui sous le couvert de l'anonymat ont le courage de tenter de détruire au lieu de construire", je vous rappelle que le fait de ne pas être d’accord avec l’Awbb ou de modérer voire de critiquer la portée des envolées "awbbiennes" n’est pas nécessairement synonyme de destruction.
Alors, pour une fois, prenez en considération un autre son de cloche (sans mauvais jeu de mot) et, pour reprendre une phrase qui vous est chère "La pérennité de notre sport est, aujourd’hui, à ce prix."
Ce n’est pas la première fois qu’une démarche positive est entreprise envers l’AWBB, soit de façon individuelle, soit par Basketfemin.com, soit par le biais de FunKids (rappellez vous les newsletters n° 46 et 73 ou encore le 27 juin 2005 voire même les jeux de la francophonie).
Une porte est ouverte, une main est tendue et le dialogue entre toutes les forces vives de chez nous - Basketfeminin.com en est une, que cela vous plaise ou non – est devenu une nécessité indispensable car, je le répète, Il y a bel et bien urgence pour notre basket féminin.
A vous de savoir ce qui a lieu de faire … mais sachez qu’il y a une opposition qui gronde de plus en plus… à vous de la rendre « démocratique » ou de la laisser « dissidente ».
C’est le pouvoir du chef et ce pouvoir, croyez-le bien, nous ne le contestons pas, loin de là !
Pour éviter tout amalgame auquel j’ai déjà eu droit …
Jean-Luc Cornia
Coach de basket féminin, je précise bien coach de basket féminin (et rien d’autres) depuis pas mal de temps déjà.
PS: Pour faire vraiment très court : "debout les gars réveillez-vous, il va falloir en
mettre un coup …, debout les gars, réveillez-vous, on va …. " (chanson bien connue).