Lu dans la presse
Le président du Dexia Namur a réagi dans la presse locale namuroise aux propos tenus par l'Echevin du patrimoine de la ville de Namur, Tanguy Auspert. Pour Jean-François Prior, il existe bien "un contrat d'utilisation du hall en bonne et due forme signé par le responsable de la cellule adminstrative et financière de la ville de Namur et par le président et le secrétaire du club", explique-t-il dans Vers l'Avenir Namur vendredi. "Les charges sont comprises dans cette convention qui reprend nos plages d'occupation et le prix, tant pour la salle que pour la cafétéria". Le président st-servaitois affirme également, toujours dans Vers l'Avenir Namur que le collège, en date du 28 février 2003, accepte après délibération, de rembourser sous forme de crédit d'heures, les travaux réalisés par le club. "La table de presse, un praticable pour la TV, les lignes téléphoniques, des travaux d'ignifugation... bref une facture de 44.943 euros. (.../...) Il s'agit en fait d'un prêt sans intérêt pour la ville, plus intéressant pour elle. Nous sommes également très loin d'un endettement".
La veille dans le Quotidien des Sports de Namur, le président de Dexia Namur s'était déjà "étonné que l'on ne trouve rien à la Ville alors que notre trésorier reçoit de l'administration communale un relevé mensuel du décompte des heures restantes reçues en compensation des travaux effectués par le club. Des travaux donc comme "le praticable pour la télévision, la tribune de presse, le bureau où s'assied le concierge de la Ville est meublé par nos soins à hauteur de 17.500 euros. Nous avons aussi acheté la vaisselle et les divans en cuir de la salle des joueuses. Dernièrement, la cafétéria a été dotée d'un nouveau bar dont coût imprévu de 5000 euros. La Ville loue cet endroit pour des soirées et se sert, comme d'autres clubs, de notre salle de conférence de presse. Des travaux qui profitent, rappelle Jean-François Prior au Quotidien de Namur et à Vers l'Avenir Namur, aux autres utilisateurs du Hall. "Je ne veux surtout pas dire que la Ville n'a rien fait pour nous puisque nous disposons de ses locaux. Je n'en veux à personne. Mais, j'attends les suites pour prendre attitude." Le président st-servaitois ponctue dans le Quotidien de Namur aussi en disant que "Je comprends que cela n'intéresse pas tous les Namurois et certains préfèrent peut-être les Arts Forains, par exemple. Mais alors qu'on nous le dise franchement au lieu de chercher des mauvaises querelles." Même conclusion dans Vers l'Avenir Namur, Gouverner , c'est choisir, je préférerais qu'on me dise clairement que ça n'intéresse personne qu'il y ait un grand club à Namur plutôt que d'entendre raconter n'importe quoi sur celui-ci."