D. Namur en a "réellement assez" ! Las de ne croire voir sur ce site que "propos diffamants" à leur encontre, les dirigeants de la prestigieuse BCSS Namur asbl l'ont fait savoir dans une missive adressée à Basketfeminin.com mercredi où l'on nous "sommes de cesser toute diatribe à l'encontre du club".
Ainsi, le plus prestigieux club de basket féminin du pays n'aurait-il d'autres ressources que de brandir le spectre de la menace pour soigner sa stratégie de communication ? Il existe pourtant différents moyens de faire entendre sa voix pour corriger des faits estimés erronés: l'un des plus simples est le communiqué de presse, l'un des plus formels, le droit de réponse.
Mais quels propos diffamants d'abord? Nous restons bien perplexes devant ce coup de sang instinctif... un de plus...
Que le dirigeant du club st-servaitois soit bien heureux de naviguer dans le basket féminin à Namur comme sur un long fleuve tranquille ! Les presses - ne fut-elle que sportives - française, britannique, espagnole, italienne, voire même néerlandophone, doivent être des monstres de cruauté à côté de nous... comment déjà ? Basketfeminin.com... Si soft mais à qui l'on veut pourtant cacher tant de choses ... Un peu de sérieux !
Ah bien sûr, nous pourrions ouvrir des dossiers estampillés D. Namur,
et autre sujets sensibles... au risque alors de provoquer bien des vagues...
Alors peut-être que tout compte fait, le club st-servaitois est-il bien heureux de naviguer sur son long fleuve tranquille?
Tiens, à propos, n'existe-t-il pas dans nos sociétés une vague notion genre 'liberté du choix rédactionnel d'un medium de presse" ou quelque chose comme "liberté de la presse" ou bien, non mon dieu, tout de suite les gros mots..."liberté d'expression" ? ...
Christian Detroz
Basketfeminin.com
Ainsi, le plus prestigieux club de basket féminin du pays n'aurait-il d'autres ressources que de brandir le spectre de la menace pour soigner sa stratégie de communication ? Il existe pourtant différents moyens de faire entendre sa voix pour corriger des faits estimés erronés: l'un des plus simples est le communiqué de presse, l'un des plus formels, le droit de réponse.
Mais quels propos diffamants d'abord? Nous restons bien perplexes devant ce coup de sang instinctif... un de plus...
Que le dirigeant du club st-servaitois soit bien heureux de naviguer dans le basket féminin à Namur comme sur un long fleuve tranquille ! Les presses - ne fut-elle que sportives - française, britannique, espagnole, italienne, voire même néerlandophone, doivent être des monstres de cruauté à côté de nous... comment déjà ? Basketfeminin.com... Si soft mais à qui l'on veut pourtant cacher tant de choses ... Un peu de sérieux !
Ah bien sûr, nous pourrions ouvrir des dossiers estampillés D. Namur,
- sur son apport réel au basket féminin belge,
- sur les véritables raisons de la volonté d'une fusion avec le Novia Munalux voisin,
- sur son école de jeunes,
- sur les rapports entre la Ville et son club phare,
- sur la situation financière du club après trois ans d'Euroligue,
- sur son système de fonctionnement et mode de recrutement
et autre sujets sensibles... au risque alors de provoquer bien des vagues...
Alors peut-être que tout compte fait, le club st-servaitois est-il bien heureux de naviguer sur son long fleuve tranquille?
Tiens, à propos, n'existe-t-il pas dans nos sociétés une vague notion genre 'liberté du choix rédactionnel d'un medium de presse" ou quelque chose comme "liberté de la presse" ou bien, non mon dieu, tout de suite les gros mots..."liberté d'expression" ? ...
Christian Detroz
Basketfeminin.com