Au lendemain du Tournoi des 4 Wallons, les deux buvettes de Spirou Monceau ont été cambriolées et saccagées, a expliqué Pascal Vacavant le président de Spirou Monceau. La salle Ballens a reçu de la visite dans la nuit de lundi à mardi.
"La salle Ballens a été visitée par des personnes sans scrupules", a expliqué Pascal Vacavant. "Tout le week-end, des bénévoles se sont affairés pour organiser le Tournoi des 4 Wallons et gagner quelques euros pour le club…et tout cela pour rien. C’est la désolation: armoires forcées, renversées et pillées; vols divers (bonbons/chocolats et boissons). Les bénévoles sont sous le choc mais ont retroussé leurs manches pour éviter que les petites joueuses qui ont entraînement à 17h00 ne soient confrontées à cette vision choquantes. Nous sommes un club familial et social. Nous oeuvrons pour former et éduquer des enfants dans un esprit de sport et de fair-play. Nous ne méritons pas ce traitement. Nous remettrons bien sûr l’ouvrage sur le métier mais cette violence gratuite est chaque fois un choc pour mes collaborateurs et moi-même. On s’attaque aux écoles, aux clubs sportifs, aux plaines de jeux...ou cela s’arrêtera t’il?"
"La salle Ballens a été visitée par des personnes sans scrupules", a expliqué Pascal Vacavant. "Tout le week-end, des bénévoles se sont affairés pour organiser le Tournoi des 4 Wallons et gagner quelques euros pour le club…et tout cela pour rien. C’est la désolation: armoires forcées, renversées et pillées; vols divers (bonbons/chocolats et boissons). Les bénévoles sont sous le choc mais ont retroussé leurs manches pour éviter que les petites joueuses qui ont entraînement à 17h00 ne soient confrontées à cette vision choquantes. Nous sommes un club familial et social. Nous oeuvrons pour former et éduquer des enfants dans un esprit de sport et de fair-play. Nous ne méritons pas ce traitement. Nous remettrons bien sûr l’ouvrage sur le métier mais cette violence gratuite est chaque fois un choc pour mes collaborateurs et moi-même. On s’attaque aux écoles, aux clubs sportifs, aux plaines de jeux...ou cela s’arrêtera t’il?"