Après l'épisode d'Helsinki en juin dernier qui avait vu la Belgique s'incliner contre la Pologne et l'emporter face à la Finlande dans un premier tournoi de qualifications rassemblant les pays non-qualifiés pour l'Euro-2013, la Belgique jouera sa carte face à la Grande-Bretagne, la Lituanie et la Macédoine pour l'Euro-2015 cette fois.
Le premier de chacun des six groupes et les 5 meilleurs deuxièmes rejoindront la phase finale de l'Euro-2015 en Hongrie et Roumanie. Une phase finale que n'a plus vu la Belgique depuis 2007 à Chieti. Mais pour Daniel Goethals, outre la qualification, le premier objectif est d'assurer une continuité, dans la foulée de l'épisode finlandais.
"Alors bien sûr l'objectif est de gagner tous les matches, l'objectif est de se qualifier. L'objectif est d’assurer en effet aussi la continuité sur base des jalons que l’on a posé l’été dernier", a expliqué Daniel Goethals vendredi en présentant sa sélection de 15 joueuses. "En corrigeant certaines erreurs, mais en profitant aussi de ce qui a déjà été mis en place. Notre moteur doit se baser sur l’envie de continuer à construire notre identité avec une jeune génération qui pointe le bout de son nez, avec des joueuses qui deviennent des joueuses clés dans leur club, ou qui prennent de l’expérience à l’étranger. On a montré des valeurs l’an dernier. On a grandi. Le staff aussi. Il faut renforcer ces points dominants".
Le premier de chacun des six groupes et les 5 meilleurs deuxièmes rejoindront la phase finale de l'Euro-2015 en Hongrie et Roumanie. Une phase finale que n'a plus vu la Belgique depuis 2007 à Chieti. Mais pour Daniel Goethals, outre la qualification, le premier objectif est d'assurer une continuité, dans la foulée de l'épisode finlandais.
"Alors bien sûr l'objectif est de gagner tous les matches, l'objectif est de se qualifier. L'objectif est d’assurer en effet aussi la continuité sur base des jalons que l’on a posé l’été dernier", a expliqué Daniel Goethals vendredi en présentant sa sélection de 15 joueuses. "En corrigeant certaines erreurs, mais en profitant aussi de ce qui a déjà été mis en place. Notre moteur doit se baser sur l’envie de continuer à construire notre identité avec une jeune génération qui pointe le bout de son nez, avec des joueuses qui deviennent des joueuses clés dans leur club, ou qui prennent de l’expérience à l’étranger. On a montré des valeurs l’an dernier. On a grandi. Le staff aussi. Il faut renforcer ces points dominants".
Il faudra jouer son meilleur basket pour passer
Difficile de déterminer les chances belges en fonction des effectifs des adversaires. La Belgique est en tous les cas prêt à relever le défi. Si les Belges réussissent à se qualifier, elles l'auront mérité. Si pas, elles ne méritent pas encore de figurer en phase finale d'un Euro. Simple.
"Notre moteur doit être la cohésion dans le groupe", reprend Daniel Goethals. "La Grande-Bretagne a changé de coach, même si c'est l'assistant qui reprend les rênes. La Lituanie aussi a changé de coach et la Macédoine est un pays qui est nouveau dans les qualifications européennes. Maintenant, il faut rester les pieds sur terres, la Grande-Bretagne et la Lituanie sont deux grandes nations du basket. Je n'en ai pas peur, loin de là, mais il faudra jouer son meilleur basket pour les battre."
C'est Mantas Sernius, ex-coach de VICI Aistes Kaunas en Euroligue, qui a repris le flambeau de Algirdas Paulauskas en Lituanie, alors que l'Australien Peter Buckle est devenu le sélectionneur de la Grande-Bretagne (les 20 pré-sélectionnées britanniques), qui après avoir participé à deux Euros puis au jeux Olympiques de Londres, est lâché par ses instances olympiques en vue de Rio 2016.
"Notre moteur doit être la cohésion dans le groupe", reprend Daniel Goethals. "La Grande-Bretagne a changé de coach, même si c'est l'assistant qui reprend les rênes. La Lituanie aussi a changé de coach et la Macédoine est un pays qui est nouveau dans les qualifications européennes. Maintenant, il faut rester les pieds sur terres, la Grande-Bretagne et la Lituanie sont deux grandes nations du basket. Je n'en ai pas peur, loin de là, mais il faudra jouer son meilleur basket pour les battre."
C'est Mantas Sernius, ex-coach de VICI Aistes Kaunas en Euroligue, qui a repris le flambeau de Algirdas Paulauskas en Lituanie, alors que l'Australien Peter Buckle est devenu le sélectionneur de la Grande-Bretagne (les 20 pré-sélectionnées britanniques), qui après avoir participé à deux Euros puis au jeux Olympiques de Londres, est lâché par ses instances olympiques en vue de Rio 2016.
Daniel Goethals a présenté vendredi sa sélection pour les qualifications
