D. Namur, une bonne et une mauvaise nouvelle

Marc Silvert restait bien calme et lucide après la qualification acquise en fin de match face aux Normandes. "Il nous reste dix jours pour bien travailler", et le travail ne manquera pas pour le coach français, il le sait. Même le website du club namurois se montrait très peu élogieux pour ses propres couleurs. Contre Mondeville, les St-Servaitoises ont galèré 35 minutes avant d'émerger en fin de rencontre. Les intérieures américaines, Rebekkah Brunson (22pts, 15 rbds) et Nicole Ohlde (14pts, 11 rbds) ont encore fait la moitié du boulot, 36 pts et 26 rebonds à elles deux. Krystyna Szymanska-Lara (18) a complèté le tableau pendant que Elzbieta Miedzik (re)trouvait l'ouverture dans les dernières minutes pour donner une bouffée d'oxygène à ses couleurs. Face à des Normandes d'une pauvreté rare en matière de réussite à distance (14/40 à 2pts et 8/21 à 3pts) face à la zone namuroise, les St-Servaitoises savaient avant de commencer la partie qu'une victoire leur assurerait la qualification, qu'une défaite les condamnerait à rester à quai. Prague s'était en effet incliné 64 à 66 face à Pecs et pouvait dire adieu à l'Euroligue. Dexia Namur terminait 15-ème du ranking du premier tour de l'Euroligue et devait affronter le 2-ème classé.

Au coup de sifflet final, c'était Samara, l'équipe à éviter à tout prix, qui s'affichait en face du nom de Dexia Namur dans le tableau des 8-èmes de finale. C'était cher payé la qualif. Et le voyage. Et l'opposition. Mais restons positifs, ce sont les championnes d'Europe et Ann Wauters qui reviendront à Namur (le 3 février) après avoir accueilli en Russie les Saint-Servaitoises le 31 janvier et peut-être le 8 février en cas de belle éventuelle.

Retour sur les résultats de mercredi


Euroligue D. Namur, une bonne et une mauvaise nouvelle Dexia Namur s'est qualifié mercredi soir pour les huitièmes de finale de l'Euroligue en prenant la mesure de Mondeville 74 à 68. C'était la bonne nouvelle. La mauvaise, c'est que les filles de Marc Silvert doivent se "taper" Samara au tour suivant. Tant sportivement que financièrement, la joute est lourde. Marc Silvert restait bien calme et lucide après la qualification acquise en fin de match face aux Normandes. "Il nous reste dix jours pour bien travailler", et le travail ne manquera pas pour le coach français, il le sait. Même le website du club namurois se montrait très peu élogieux pour ses propres couleurs. Contre Mondeville, les St-Servaitoises ont galèré 35 minutes avant d'émerger en fin de rencontre. Les intérieures américaines, Rebekkah Brunson (22pts, 15 rbds) et Nicole Ohlde (14pts, 11 rbds) ont encore fait la moitié du boulot, 36 pts et 26 rebonds à elles deux. Krystyna Szymanska-Lara (18) a complèté le tableau pendant que Elzbieta Miedzik (re)trouvait l'ouverture dans les dernières minutes pour donner une bouffée d'oxygène à ses couleurs. Face à des Normandes d'une pauvreté rare en matière de réussite à distance (14/40 à 2pts et 8/21 à 3pts) face à la zone namuroise, les St-Servaitoises savaient avant de commencer la partie qu'une victoire leur assurerait la qualification, qu'une défaite les condamnerait à rester à quai. Prague s'était en effet incliné 64 à 66 face à Pecs et pouvait dire adieu à l'Euroligue. Dexia Namur terminait 15-ème du ranking du premier tour de l'Euroligue et devait affronter le 2-ème classé. Au coup de sifflet final, c'était Samara, l'équipe à éviter à tout prix, qui s'affichait en face du nom de Dexia Namur dans le tableau des 8-èmes de finale. C'était cher payé la qualif. Et le voyage. Et l'opposition. Mais restons positifs, ce sont les championnes d'Europe et Ann Wauters qui reviendront à Namur (le 3 février) après avoir accueilli en Russie les Saint-Servaitoises le 31 janvier et peut-être le 8 février en cas de belle éventuelle. Retour sur les résultats de mercredi Jeudi 19 Janvier 2006
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