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Championnat

Black out au Dexia Namur

Un bien étrange 'Silenzio stampa'


Le président du Dexia Namur, Jean-François Prior, a décrêté le 'silenzio stampa'. En clair, personne du club st-servaitois ne peut s'exprimer dans la presse jusqu'au 26 avril (date de la finale de la Coupe de Belgique). Une décision qui a fait réagir le quotidien namurois Vers l'Avenir et la télévision namuroise, Canal C. Et pour une fois, Basketfeminin.com n'y est pour rien, promis, juré !



Black out au Dexia Namur
Accusé d'être constamment négatif à l'égard du club saint-servaitois, Basketfeminin.com a l'habitude déjà depuis belle lurette des consignes de boycott à son égard, les coups de télépone rageurs et les lettres de menaces, mais que les médias namurois - qui relaient en long et en large, plusieurs fois par semaine et toute l'année, les performances du club saint-servaitois, y compris jusque dans ses plus lointains déplacements européens - soient eux aussi mis au pilori, cela laisse perplexe. Une attitude qui contraste singulièrement avec les propos du président st-servaitois en fin de saison dernière qui voulait, dès le lendemain du titre de champion en poche, redonner une image plus conviviale et sympathique à son club. Pourquoi ? Le sempiternel discours du président saint-servaitois tourne toujours autour, entre autres, de la place trop grande accordée à son voisin du Novia Munalux Namur, de propos transformés par les journalistes, du manque d'attention des médias à son égard.

Nous ne pouvons que nous montrer solidaires de nos confrères namurois et regretter une décision, contestée en aparté au sein même du club, qui donne une bien piêtre image du club namurois et du basket féminin belge qu'il est censé représenter.

Une chape de plomb sur les Saint-Servaitoises

Le president du D. Namur, Jean-François Prior, grand communicateur à ses moments, a impose le silence complet à ses joueuses et à son staff jusqu’au 26 avril prochain, au terme des play-off. Ayant de tous temps donné la possibilité à chacune et chacun dans ce club de s’exprimer, nous ne pouvons que regretter cette malencontreuse décision prise pour, paraît-il, se concentrer sur le sportif et pas sur les commentaries. Consternant ! (Vers l'Avenir Namur - 03 mars 2008)


Lundi 3 Mars 2008