Les Tournaisiennes de Damien Bridoux ont archi-dominé la saison. Le club du Président Guy Mené a d'emblée affirmé vouloir assumer cette promotion parmi l'élite. "Nous allons essayer de nous maintenir avant toute chose, souligne Guy Mené. La cerise sur le gâteau serait bien entendu d'accrocher les play-off. Mais il nous faut renforcer notre noyau par une bonne intérieure et une ailière pouvant aussi suppléer Mélanie Legrand qui ne pourra jouer 40 minutes tout le temps. L'objectif aussi est de garder un noyau à coloration locale. C'est la première fois qu'un club du tournaisis réalise une progression aussi rapide pour accéder à l'élite. Nous en sommes très heureux et très fier."
Les six joueuses de base, instigatrices de la montée en division I, devraient être conservées: Mélanie Legrand, Evelyne Maes, Elodie Sytche, Juliette N'Diaye, Anne Pattyn et Druart. Epaulées par des joueuses de la seconde équipe du Mini Tournai, elles seront complétées par des renforts, dont un probablement venu de l'étranger. Nous devons acquérir une intérieure, probablement étrangère et une ailière, probablement belge, , confirme le coach de ces dames, Damien Bridoux. Il y a quatre ans, nous étions en première provinciale et cinq filles de notre noyau y étaient aussi. Elles font le grand saut en division I. Le noyau est très jeune. Toutes ont moins de 24 ans.. Parmi ces filles et véritable moteur de l'équipe, Mélanie Legrand a connu déjà la division I avec Soubry Courtrai à l'époque et les honneurs de sélections nationales. Elodie Sytche a également transité par la formation espoirs de Guy Massart au BCSS Namur.
Plus de 200 jeunes
Nous souhaitons garder une âme et une accroche régionale à l'équipe, poursuit Damien Bridoux. C'est important pour notre école de jeune. La plus grande du Hainaut. Nous avons plus de 200 jeunes, dont sont issus notamment Kathy Wambe et Mélanie Legrand. Je connais un peu le niveau de la D1. Je pense que nous pouvons rivaliser déjà avec des équipes comme Ekeren, St-Katelijne Waver ou Gand. A nous de faire le nécessaire et de susciter l'engouement autour de nous. Lors de notre match célébrant notre titre, nous avons comptabilisé 420 entrées payantes!
Nous allons essayer de tenir la route en division I, se préoccupe Jean Bodson, le trésorier tournaisien. Il faut réunir le budget. Nous n'allons pas faire de folie, c'est certain. Mais nous allons travailler dur, car le jeu en vaut la chandelle. Surtout quand l'on voit d'où nous venons. La Ville nous soutient, un peu financièrement, mais surtout en matière de contacts ou de soutien administratif. Ce sera important pour une éventuelle étrangère. Elle prend en charge aussi les entraîneurs de notre école de jeunes. Tous diplômés. Il a fallu ré-engager des coaches en cours de saison, tellement nous avons été un peu débordé en matière d'affiliations.
Nous avons eu la chance de connaître notre destinée sportive très tôt, (ndlr: dès la mi-février Mini Tournai était déjà assuré de la montée) Et le Comité a décidé tout de suite d'assumer la montée. Nous pouvons donc nous préparer en connaissance de cause. Pour ce qui est des promotions et des ascensions fulgurantes, Damien Bridoux en connaît un beau. Tant chez les messieurs, avec une montée de Ploegsteert de P1 en N3 en trois ans, que chez les dames, avec le T. Kain de P1 en N2 en quatre ans. Ou donc de Mini Tournai de P1 en N2 en quatre ans. Pas question de se monter la tête, mais l'appétit vient en mangeant...
La division I dames se composera de douze formations la saison prochaine. Du côté de la VBL, Wytewa Roulers rejoindra l'élite. Portrait la semaine prochaine.
Les six joueuses de base, instigatrices de la montée en division I, devraient être conservées: Mélanie Legrand, Evelyne Maes, Elodie Sytche, Juliette N'Diaye, Anne Pattyn et Druart. Epaulées par des joueuses de la seconde équipe du Mini Tournai, elles seront complétées par des renforts, dont un probablement venu de l'étranger. Nous devons acquérir une intérieure, probablement étrangère et une ailière, probablement belge, , confirme le coach de ces dames, Damien Bridoux. Il y a quatre ans, nous étions en première provinciale et cinq filles de notre noyau y étaient aussi. Elles font le grand saut en division I. Le noyau est très jeune. Toutes ont moins de 24 ans.. Parmi ces filles et véritable moteur de l'équipe, Mélanie Legrand a connu déjà la division I avec Soubry Courtrai à l'époque et les honneurs de sélections nationales. Elodie Sytche a également transité par la formation espoirs de Guy Massart au BCSS Namur.
Plus de 200 jeunes
Nous souhaitons garder une âme et une accroche régionale à l'équipe, poursuit Damien Bridoux. C'est important pour notre école de jeune. La plus grande du Hainaut. Nous avons plus de 200 jeunes, dont sont issus notamment Kathy Wambe et Mélanie Legrand. Je connais un peu le niveau de la D1. Je pense que nous pouvons rivaliser déjà avec des équipes comme Ekeren, St-Katelijne Waver ou Gand. A nous de faire le nécessaire et de susciter l'engouement autour de nous. Lors de notre match célébrant notre titre, nous avons comptabilisé 420 entrées payantes!
Nous allons essayer de tenir la route en division I, se préoccupe Jean Bodson, le trésorier tournaisien. Il faut réunir le budget. Nous n'allons pas faire de folie, c'est certain. Mais nous allons travailler dur, car le jeu en vaut la chandelle. Surtout quand l'on voit d'où nous venons. La Ville nous soutient, un peu financièrement, mais surtout en matière de contacts ou de soutien administratif. Ce sera important pour une éventuelle étrangère. Elle prend en charge aussi les entraîneurs de notre école de jeunes. Tous diplômés. Il a fallu ré-engager des coaches en cours de saison, tellement nous avons été un peu débordé en matière d'affiliations.
Nous avons eu la chance de connaître notre destinée sportive très tôt, (ndlr: dès la mi-février Mini Tournai était déjà assuré de la montée) Et le Comité a décidé tout de suite d'assumer la montée. Nous pouvons donc nous préparer en connaissance de cause. Pour ce qui est des promotions et des ascensions fulgurantes, Damien Bridoux en connaît un beau. Tant chez les messieurs, avec une montée de Ploegsteert de P1 en N3 en trois ans, que chez les dames, avec le T. Kain de P1 en N2 en quatre ans. Ou donc de Mini Tournai de P1 en N2 en quatre ans. Pas question de se monter la tête, mais l'appétit vient en mangeant...
La division I dames se composera de douze formations la saison prochaine. Du côté de la VBL, Wytewa Roulers rejoindra l'élite. Portrait la semaine prochaine.