"Castors Braine a été si proche de l'exploit", entame L'Avenir.net au fil de ses pages nationales et régionales et dans un cahier spécial de 7 pages supplémentaires qui détaillent le parcours des finalistes de l'Eurocup, ajoutant aux réactions et commentaires le curriculum vitae des héros "entrées dans l'histoire".
Entre déception légitime de n'avoir pu accrocher une titre européen à son palmarès et fierté, surtout, d'avoir porté les couleurs de Castors Braine dans les étoiles donnant un éclat inouï et inédit au basket féminin dans notre pays. "Les Castors ont craqué dans les 20 dernières minutes d'un parcours européen qui mérite néanmoins les honneurs", résume la Dernière-Heure-les-Sport. "La pression de la finale aura été trop forte, mais les Brainoises sortent la tête haute". "Quelle déception" titre aussi le groupe SudPresse. "Cruelle désillusion" titre aussi l'Avenir.net. Déçu d'avoir perdu une finale de Coupe d'Europe, c'est dire si le graal aura été bien proche. "Le Castorsdôme était en feu (SudPresse), les larmes aux yeux (L'Avenir.net) "le rêve était sans doute trop beau", "elles sont entrées dans l'histoire".
Au fil des pages, les photos, les titres, les réactions s'enchaînent. Les réflexions aussi. Dans L'Avenir.net, Christelle Warnotte souligne que Castors Braine a changé le regard des gens sur le basket féminin. "De l'anonymat d'une équipe quasi sans histoire, ces filles ont par leur courage, leur travail, leur ténacité et leur écoute d'un coach talentueux gravi les échelons un à un, match par match, sans chercher au-delà du raisonnable une reconnaissance médiatique. ../.. Malgré leur défaite, les Brainoises ont fait vibrer le coeur des Belges et on définivement changé le regard de ceux-ci sur le basket féminin. Chapeau Mesdemoiselles et surtout ne changer rien. Votre humilité est votre point fort et doit le rester".
Entre déception légitime de n'avoir pu accrocher une titre européen à son palmarès et fierté, surtout, d'avoir porté les couleurs de Castors Braine dans les étoiles donnant un éclat inouï et inédit au basket féminin dans notre pays. "Les Castors ont craqué dans les 20 dernières minutes d'un parcours européen qui mérite néanmoins les honneurs", résume la Dernière-Heure-les-Sport. "La pression de la finale aura été trop forte, mais les Brainoises sortent la tête haute". "Quelle déception" titre aussi le groupe SudPresse. "Cruelle désillusion" titre aussi l'Avenir.net. Déçu d'avoir perdu une finale de Coupe d'Europe, c'est dire si le graal aura été bien proche. "Le Castorsdôme était en feu (SudPresse), les larmes aux yeux (L'Avenir.net) "le rêve était sans doute trop beau", "elles sont entrées dans l'histoire".
Au fil des pages, les photos, les titres, les réactions s'enchaînent. Les réflexions aussi. Dans L'Avenir.net, Christelle Warnotte souligne que Castors Braine a changé le regard des gens sur le basket féminin. "De l'anonymat d'une équipe quasi sans histoire, ces filles ont par leur courage, leur travail, leur ténacité et leur écoute d'un coach talentueux gravi les échelons un à un, match par match, sans chercher au-delà du raisonnable une reconnaissance médiatique. ../.. Malgré leur défaite, les Brainoises ont fait vibrer le coeur des Belges et on définivement changé le regard de ceux-ci sur le basket féminin. Chapeau Mesdemoiselles et surtout ne changer rien. Votre humilité est votre point fort et doit le rester".
"Fier de nos filles", titre en UNE le groupe Sudpresse, "Castors Braine a été battu (53-73) en finale de l'Eurocoupe par Villeneuve d'Ascq après avoir fait vibrer toute la Belgique", avant de développer l'extraordinaire campagne au fil de 6 pages spéciales.
"Pas de titre à la belle histoire des Brainoises", titre (ou refuse de titrer) le quotidien Le Soir. "Pourquoi y a-t-il deux manches à une finale d’Eurocoupe comme à un pull mal tricoté ? Une seule aurait suffi au bonheur des Brainoises, deux c’était... une de trop ! Mais leur parcours de 12 victoires pour deux défaites, dont la dernière si cruelle, n’en demeure pas moins exceptionnel et vaut les applaudissements nourris des 6.500 spectateurs réunis pour l’événement". Guy Milecan pose aussi la question: "Que faire de ce superbe parcours européen, qui, à une manche près, aurait pu être l’enfant unique d’une famille basket qui avait déjà cru en l’heureux événement en 1973 avec Malines, puis en 2008 avec Mons, finalistes eux aussi éconduits ? Car que peuvent objectivement en faire les dirigeants des ailes francophone et néerlando-
phone dont les moyens financiers sont aussi limités que leur esprit d’entreprise et leur sens de la créativité ? Ann Wauters est une icône qu’ils n’ont pas su exploiter quand elle brillait au firmament d’une carrière internationale sans égale, alors pourquoi se serviraient-ils mieux des Castors comme levier pour élever le niveau de la compétition et pour la promouvoir avec conviction ? "
A voir aussi les réactions des supporters sur le site de RTL Tvi
Les reportages de la RTBF
Côté néerlandophone, l'attention était portée aussi sur Ann Wauters. "La fête belge aura été pour Ann Wauters", titre Het Laatste Nieuws. Battu, mais fier, reprend aussi le quotidien néerlandophone où comment Castors Braine ont écrit l'histoire. "Il y a quelques années encore un club de niveau provincial. Depuis hier vice-champion d'Europe devant 6.000 supports qui leur font une ovation. Et aujourd'hui, les joueuses seront honorées pour leur saison européenne sur la grand-place de Braine-l'Alleud avec une apparition au balcon de l'hôtel de Ville à la manière des Diables Rouges."
Sur Sporza, à lire ici
Côté français, les Villeneuvoises ont été renversantes, magnifiques
"Pas de titre à la belle histoire des Brainoises", titre (ou refuse de titrer) le quotidien Le Soir. "Pourquoi y a-t-il deux manches à une finale d’Eurocoupe comme à un pull mal tricoté ? Une seule aurait suffi au bonheur des Brainoises, deux c’était... une de trop ! Mais leur parcours de 12 victoires pour deux défaites, dont la dernière si cruelle, n’en demeure pas moins exceptionnel et vaut les applaudissements nourris des 6.500 spectateurs réunis pour l’événement". Guy Milecan pose aussi la question: "Que faire de ce superbe parcours européen, qui, à une manche près, aurait pu être l’enfant unique d’une famille basket qui avait déjà cru en l’heureux événement en 1973 avec Malines, puis en 2008 avec Mons, finalistes eux aussi éconduits ? Car que peuvent objectivement en faire les dirigeants des ailes francophone et néerlando-
phone dont les moyens financiers sont aussi limités que leur esprit d’entreprise et leur sens de la créativité ? Ann Wauters est une icône qu’ils n’ont pas su exploiter quand elle brillait au firmament d’une carrière internationale sans égale, alors pourquoi se serviraient-ils mieux des Castors comme levier pour élever le niveau de la compétition et pour la promouvoir avec conviction ? "
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Côté néerlandophone, l'attention était portée aussi sur Ann Wauters. "La fête belge aura été pour Ann Wauters", titre Het Laatste Nieuws. Battu, mais fier, reprend aussi le quotidien néerlandophone où comment Castors Braine ont écrit l'histoire. "Il y a quelques années encore un club de niveau provincial. Depuis hier vice-champion d'Europe devant 6.000 supports qui leur font une ovation. Et aujourd'hui, les joueuses seront honorées pour leur saison européenne sur la grand-place de Braine-l'Alleud avec une apparition au balcon de l'hôtel de Ville à la manière des Diables Rouges."
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